-----Message d'origine----- From: Lucie Lansciac [postmistress] To: MacBoiss@caramail.com Subject: Re: [spam] |mail|.php3 > MacPoiss #0,1 Que de gueux nous trouvâmes sur notre chemin; seul gard pour maitre, ils essayaient tant bien que mal d'exister au lieu de tout simplement le faire... > MacBoiss #3 Un rapport avec le texte de Shakespeare? Parce que sinon ca tombe réellement à l'eau. L'eau comme dans H2O mais aussi comme dans alcoolique. Pensées dillatatoire dûes à un euphorisme naissant d'une douce mélancolie. La norme aujourd'hui est à faire des trilogies, cependant les réalisateurs pensent qu'il vaut mieux faire le deux avant de se lancer dans un un pour terminer sur un trois. A ma connaissance, la seule trilogie ayant commencé par un quatre se termine d'ailleurs par une sixologie. Et qd je dis sixologie, ne te confonds pas, que diantre, avec la sexologie qui est avant tout la réelle apparence de la psychanalyse selon Freud. En effet, pour certains tout est vie, tout est esprit, pour Freud, tout est sexe. Si les jeunes filles veulent un homme c'est parce qu'elles ont la frustration de la castration. Idées selon quoi, intérieurement, cette frustration est si grande que cela leur fait faire des folies. Peut être te reconnais-tu? > Un jour tu te retourneras et je serais derrière toi... Derrière, devant, dessus, dessous, à côté, que m'importe mon choux. Personnellement, je te préfererai en crème patissière marbré par un fondu noir des plus sympathique. Et que veux tu faire derrière moi? Veux tu bien me le dire? Si tu es derrière, ce dont je doutes, n'étant qu'un ghost du réseau, c'est que tu es dans mon nombre, dans mon six heures. Il est d'ailleurs amusant de remarquer qu'il y a deux mille ans, le six heure était le midi. Peut être portes tu mes paquets? Ramasses-tu l'aumône que je lance? Que diable fais-tu derrière moi. Ne sais tu pas qu'en restant retranché, tu ne finiras que galérien.... > Voila les derniers mots que j'entendis avant de passer la marche arriere de ma Wageu, > puis un gros BOUM survint et enfin le silence... C'est en général l'effet produit par les charettes que nous avons prés du dongeon. Elles s'approchent des grilles et puis après un grand boum, plus rien. J'ai toujours eu la curiosité de savoir ce que devenaient ces pauvres malheureux que j'envoie dans la fosse. Combien il doit être paniquant de sentir le sol se dérober sous ses pieds et de tomber deux cents mètres de long. hauteur dont en général on ne réchappe pas. Mais plutôt qu'un boum, c'est en général un éclatement que l'on perçoit, comme si ces vilains se répendaient plus rapidement par leurs entrailles que par leur verve pour une fois. Un des principes les plus attrayants ma foi. Maintenant, le dongeon est en réunion, en débat politique. Mais tu sauras peut être tout cela dans macpoiss2. Cher ami delecteur, a ne jamais te revoir. > Et n'oubliez pas la route est longue !! A la pharmacie, à droite, puis deux cent mètres jusqu'au dongeon. Tu suis les oubliettes et tu demandes l'entrée au pendu. Il n'est pas très causant, il était journaliste autrefois, depuis, il est mort. -------------------------------------------------------