Guillermito est un jeune biologiste en post-doc aux Etats-Unis, à l’université de Harvard. Et il de trouve depuis peu mis en examen dans le cadre d’un conflit avec la société Tegam qui l’accuse de « contrefaçon et recel de contrefaçon » ; Alors qu’il s’est contenté de pratiquer en amateur le désassemblage et de publier les résultats de ses analyses. Cette triste circonstance pose à mon sens plusieurs questions :
Est-il possible aujourd’hui en France de publier les failles d’un logiciel et la démonstration pratique de l’exploitation de ces failles ?
L’analyse indépendante de logiciel est-elle légale dès lors qu’elle met en cause des intérêts économiques ?
Pour son malheur Guillermito s’est placé du coté de la connaissance contre les entreprises de « sécurité » informatique, et au vu de la campagne de désinformation mené contre lui on peut avoir des doutes quant à une issue heureuse pour cette affaire